« Je ne veux pas détourner mon regard
de ta croix.
Me voici devant ton corps meurtri,
écrasé par l'horreur du supplice,
révolté par la méchanceté des hommes,
aux côtés de Marie et de Jean, le bien-aimé !
Je ne peux pas n'être qu'un spectateur.
Je me sais impliqué au cœur du mystère.
Mon péché crucifie l'innocent du chemin.
Mon reniement contribue à la mort du monde.
Devant ta croix, donne-moi, Seigneur,
la volonté de pardonner,
le souci de la justice,
la rectitude du cœur,
la force d'aimer à fonds perdu
et de recevoir ton pardon ! »
Me voici devant ton corps meurtri,
écrasé par l'horreur du supplice,
révolté par la méchanceté des hommes,
aux côtés de Marie et de Jean, le bien-aimé !
Je ne peux pas n'être qu'un spectateur.
Je me sais impliqué au cœur du mystère.
Mon péché crucifie l'innocent du chemin.
Mon reniement contribue à la mort du monde.
Devant ta croix, donne-moi, Seigneur,
la volonté de pardonner,
le souci de la justice,
la rectitude du cœur,
la force d'aimer à fonds perdu
et de recevoir ton pardon ! »
François Bécheau s.j., in "Prier 15 jours avec Ignace de Loyola", Nouvelle Cité, 2000.
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