"Un lépreux vient à Jésus, le supplie et, s’agenouillant, lui dit : « Si tu le veux, tu peux me purifier. » Ému de compassion, il étendit la main, le toucha et lui dit : « Je le veux, sois purifié. » 
"Ému de compassion, Jésus étendit la main, le toucha et lui dit : « Je le veux, sois purifié. » Et aussitôt la lèpre le quitta et il fut purifié. Comme nous comprenons la prostration du lépreux dans sa misère, la détresse de cet homme n’a pas de nom. Il est véritablement aliéné. Dans sa détresse, cet homme « sait » que Jésus peut le sauver ! Comme elle est belle cette relation que Jésus provoque dans tous ceux qui le reçoivent. Il est vraiment le Sauveur des hommes. Saisi de compassion, il manifeste sans cesse la tendresse de Dieu pour sa petite créature déchue par la tentation du menteur. Jésus répond à sa demande, il étend la main, le touche ! Après il explique ce qu’il fait : « Je le veux, sois purifié. » C’est déjà le « sacrement » qui est profilé. Bien plus qu’une parole, c’est un geste d’Amour pour que l’humanité retrouve sa dignité.
"Et le rudoyant, il le chassa aussitôt et lui dit : « Garde-toi de rien dire à personne ; mais va te montrer au prêtre et offre pour ta purification ce qu’a prescrit Moïse : ce leur sera une attestation. » Nous sommes dans le mystère de Dieu qui sauve le monde. Quand Jésus le renvoie guéri, il retrouve une identité ! En allant se montrer au prêtre, il retrouve un statut d’homme libre, il est réintégré dans la communauté humaine et religieuse. A nouveau il retrouve une place dans la société des humains. Nous comprendrons plus tard, avec la Passion et la Résurrection de Jésus, l’importance des sacrements qui sont aujourd’hui encore l’action de Jésus qui nous sauve. Pour l’instant, Jésus dit à celui qui croyait en Lui : « Attention, ne dis rien à personne… » Le témoignage à donner est d’abord une guérison intérieure.
"Mais lui, une fois parti, se mit à proclamer hautement et à divulguer la nouvelle, de sorte que Jésus ne pouvait plus entrer ouvertement dans une ville, mais il se tenait dehors, dans des lieux déserts ; et l’on venait à lui de toutes parts. Jésus est le Sauveur du monde. Le salut sera acquis dans le mystère pascal. C’est par une nouvelle relation d’Amour que nous sommes au diapason de ce mystère et non par une propagande qui resterait dans l’extériorité ! Car dans cette extériorité, nous ne sommes pas au niveau du salut : « Jésus était obligé d’éviter les lieux habités ! » On pouvait se méprendre sur son action bienfaisante. C’est le centurion romain le premier qui dira : Vraiment, cet homme était le Fils de Dieu.

"Ému de compassion, Jésus étendit la main, le toucha et lui dit : « Je le veux, sois purifié. » Et aussitôt la lèpre le quitta et il fut purifié. Comme nous comprenons la prostration du lépreux dans sa misère, la détresse de cet homme n’a pas de nom. Il est véritablement aliéné. Dans sa détresse, cet homme « sait » que Jésus peut le sauver ! Comme elle est belle cette relation que Jésus provoque dans tous ceux qui le reçoivent. Il est vraiment le Sauveur des hommes. Saisi de compassion, il manifeste sans cesse la tendresse de Dieu pour sa petite créature déchue par la tentation du menteur. Jésus répond à sa demande, il étend la main, le touche ! Après il explique ce qu’il fait : « Je le veux, sois purifié. » C’est déjà le « sacrement » qui est profilé. Bien plus qu’une parole, c’est un geste d’Amour pour que l’humanité retrouve sa dignité.
"Et le rudoyant, il le chassa aussitôt et lui dit : « Garde-toi de rien dire à personne ; mais va te montrer au prêtre et offre pour ta purification ce qu’a prescrit Moïse : ce leur sera une attestation. » Nous sommes dans le mystère de Dieu qui sauve le monde. Quand Jésus le renvoie guéri, il retrouve une identité ! En allant se montrer au prêtre, il retrouve un statut d’homme libre, il est réintégré dans la communauté humaine et religieuse. A nouveau il retrouve une place dans la société des humains. Nous comprendrons plus tard, avec la Passion et la Résurrection de Jésus, l’importance des sacrements qui sont aujourd’hui encore l’action de Jésus qui nous sauve. Pour l’instant, Jésus dit à celui qui croyait en Lui : « Attention, ne dis rien à personne… » Le témoignage à donner est d’abord une guérison intérieure.
"Mais lui, une fois parti, se mit à proclamer hautement et à divulguer la nouvelle, de sorte que Jésus ne pouvait plus entrer ouvertement dans une ville, mais il se tenait dehors, dans des lieux déserts ; et l’on venait à lui de toutes parts. Jésus est le Sauveur du monde. Le salut sera acquis dans le mystère pascal. C’est par une nouvelle relation d’Amour que nous sommes au diapason de ce mystère et non par une propagande qui resterait dans l’extériorité ! Car dans cette extériorité, nous ne sommes pas au niveau du salut : « Jésus était obligé d’éviter les lieux habités ! » On pouvait se méprendre sur son action bienfaisante. C’est le centurion romain le premier qui dira : Vraiment, cet homme était le Fils de Dieu.
Nous demandons la grâce d’habiter le mystère de Jésus Sauveur. Nous lui demandons encore de guérir les hommes qui vivent dans l’obscurité.
Seigneur, que ta parole éclaire mon intelligence, qu'elle guide mon discours et qu'elle mûrisse dans mon coeur !
RépondreSupprimerSeigneur, si tu le veux, tu peux me purifier.
Chaque fois que nous nous approchons du sacrement de la réconciliation,il faudrait que ces mots de l’humble lépreux soient sur nos lèvres : « Jésus, tu peux me guérir de mon mal, de mes péchés. » L’acte de foi de ce lépreux est comparable à celui du Bon Larron. Cloué à la croix à côté de Jésus, il dit : « Jésus, souviens-toi de moi quand tu seras dans ton royaume. » Dans les deux cas, des hommes ont vu avec les yeux de la foi au-delà de ce que l’oeil humain peut voir. Quand nous venons confesser nos péchés avec les yeux de la foi, au-delà du prêtre il nous faut voir Jésus, celui qui non seulement pardonne nos péchés mais qui, de plus, guérit nos âmes.
« Il n'était plus possible à Jésus d'entrer ouvertement dans une ville. Il était obligé d'éviter les lieux
habités, mais de partout on venait à lui. » La popularité de Jésus est à son apogée, partout où il passe, il fait du bien, il guérit, il purifie, il réconforte et redonne la vie.
Mais la renommée qui s'est étendue est celle d'un guérisseur, d'un médecin merveilleux et Jésus
n'est pas cela : il est beaucoup plus et il ne veut pas que le regard des hommes s'arrête aux guérisons extérieures, occultant ainsi le vrai sens de sa venue, l'appel à la guérison intérieure des cœurs et l'annonce de la bonne nouvelle de l'amour de notre Père du ciel.
Mais nous sommes ainsi faits que les biens visibles nous satisfont pour l'immédiat, en nous empêchant souvent de désirer le meilleur, qui demanderait une conversion. Pourtant, la paix du cœur que nous donne l'accomplissement de la volonté du Seigneur, la joie de le rencontrer
dans la prière et la méditation de sa parole, le rencontrer dans les sacrements, ne valent-elles pas tous les biens ?
Seigneur, tu me sondes et me connais,aide-moi à vivre dans ta lumière, à correspondre à ta grâce et à ressentir cette joie de la guérison qui vient de ton amitié. Mère très
pure, fais que mon cœur soit uniquement à Jésus.
d'aprés différentes sources